Pour
vivre et se développer, 6 mois ne compte ni sur la publicité, ni sur
le mécénat, mais sur ses lecteurs. En vente, dans les librairies et les
surfaces culturelles (Fnac, Relay, Virgin, Cultura), en France comme à l’étranger.
Plus de trois cents pages, un lien renoué entre le journalisme et la photo,
deux fois par an, semestrielle. Leurs mots : Ce siècle est jeune. Il se
façonne au Brésil, en Indonésie, en Chine, en Egypte. Il se raconte. Les
auteurs sont chinois, équatoriens, russes, belges, canadiens, somaliens,
américains, français…
Début en 2011, voici le huitième numéro, et ça vous
pénètre, ça vous donne du courage, ce regard de ceux et celles, reporters, qui
vont au contact. Photographies prenant toute la place et un texte court en bas
de page ou à côté.
Actualités : Le jour où … Homs est tombé.
L’image - Sur la
piste de Boko Haram.
Retour sur … « Pepe Président. (Celui de
l’Uruguay et je vous garantis la surprise quand vous verrez où habite Jose
Mujica) Le 12 mai 2014, il était dans le bureau ovale de la Maison Blanche avec
Barack Obama.
Ils l’ont fait - Extraordinaire exploration, avec
Lizzie Meek, scientifique pour l’Antartic Heritage Trust, une association
néo-zélandaise, plus de 10 000 objets retrouvés dont ces négatifs datant de
1914, avancez sur les traces de Shackleton, le bateau l’Aurora et son capitaine
Alexander Stevens.
Le témoin – La forteresse Europe, Olivier Jobard
travaille depuis quinze ans sur les migrations à travers le monde.
Photomaton
– Les chaises vides, j’en tombe par terre, Liu Jie photographie ainsi
l’exode des fermiers chinois vers les villes, il met en scène les absents par
des chaises vides, c’est cinglant !
Trente-huit pages, pour vous fouetter
d’entrée par des réalités.
Le sujet de la couverture est là, page trente neuf,
trois reportages : Les hommes en noir ; À l’ombre des jeunes
filles en armes ; Une famille en colonie.
Page 126 : Un entretien avec Marie-Laure de Decker « Je me suis follement amusée. » Elle a vécu l’âge d’or du photojournalisme. Une seule idée, se jouer des conventions.
Les Quatre cents coups, page 140. Ils sèchent l’école, ils ont 13 ou 14 ans, Konstancja Nowina Konopka a vécu avec eux les derniers mois de leur enfance, en Pologne. « Quand son père l’emmène de force à l’école, Kalus entre par une porte et sort par l’autre. » Tous les reportages vous prennent par surprise et l’impact des photographies est formidable, extraordinaire, considérable, hallucinant, funambulesque, spectaculaire, rare.
Page 126 : Un entretien avec Marie-Laure de Decker « Je me suis follement amusée. » Elle a vécu l’âge d’or du photojournalisme. Une seule idée, se jouer des conventions.
Les Quatre cents coups, page 140. Ils sèchent l’école, ils ont 13 ou 14 ans, Konstancja Nowina Konopka a vécu avec eux les derniers mois de leur enfance, en Pologne. « Quand son père l’emmène de force à l’école, Kalus entre par une porte et sort par l’autre. » Tous les reportages vous prennent par surprise et l’impact des photographies est formidable, extraordinaire, considérable, hallucinant, funambulesque, spectaculaire, rare.
Il reste : Les petites reines, les
«walés» ; les insolents de Téhéran ; la ruée
vers l’Ouest, Chongqing (Chine) aimante les populations de la
campagne : En terre communiste avec Eberhard Grames ; l’album
de famille, naissance d’un père et quelques autres.
Rendez-vous: 11 mars 2015.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire