LES ARTS EN VILLE

LES ARTS EN VILLE

1.12.12

Albrecht DURER.



Chez Georges Didi-Huberman, neuf figures sont rendues disponibles pour comprendre l’être crâne comme  lieu, contact, pensée, sculpture : neuf manières d’être qui seront autant d’aîtres pour ces figures de crâne, neuf demeures de l’être, neuf lieux de devenir, qui composent une étrange nef où la pensée voyage, vagabonde, paysage de mémoire qui sera reconfigurable en Faust, étrangement. Il y a dans ce parcours une somme possible des Être crâne dont la formule serait une addition de type : quatre + quatre + un = neuf (Être). Nous parcourons d’abord les quatre premiers — Être boîteêtre oignonêtre escargotêtre aître, comme l’opération  du regard : Scruter. Ils sont comme les prolégomènes nécessaires à l’élucidation du travail du sculpteur Giuseppe Penone. Puis nous traverserons les quatre suivants, où Georges Didi-Huberman commence à penser avec lui le parcours de l’être crâne — être fleuveêtre fouilleêtre fossileêtre feuille sous l’égide du verbe opératoire Sculpter. La dernière demeure, l’être lieu, ouvrira sur d’autres figures pessoennes d’un être crâne reconfigurés en littérature.    Être Faust. Anatomie de la pensée pessoenne

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